Plus de confort, pour un sommeil réparateur

Lorsque l’on parle de sommeil sain et réparateur on pense naturellement à nos lits et matelas. Il n’y a pas de débat possible : ils sont d’une grande importance. Mais avec un si large éventail d’offres sur le marché – entre les ressorts traditionnels, le latex, la mousse mémoire et la mousse polyuréthane, faire son choix peut devenir un casse-tête.
Une bonne publicité et un prix élevé ne signifie pas forcément meilleure qualité. Les spécialistes assurent qu’un matelas ne doit pas être trop ferme mais juste assez pour soutenir principalement le dos, la nuque et les jambes.
Un matelas doit être équilibré : assez ferme pour répartir le poids du corps sur l’ensemble de la surface ; moelleux pour ne pas vous réveiller comme si vous aviez dormir sur un planche !
Des études prétendent que la plupart des gens se sentent mieux sur un matelas plutôt ferme mais cela ne peut être décrété comme une règle absolue étant donné le nombre et la diversité des utilisateurs !

L’appariation des premiers Lits – Moyen Age

Pendant la période de la Renaissance, la forme des lits n’a pas été beaucoup développée, bien que les matelas, eux, aient subis beaucoup de modifications. On utilisait des matériaux de plus en plus délicats pour leur emplissage, notamment des feuilles de lentilles, des plumes plus douces et de la paille plus fine. Le tout était inséré dans des sacs, bien garni, et habillé méticuleusement de velours, de brocart ou de soie. Quoi qu’il arrive, les hommes s’orientent toujours vers le luxe te le confort !

Les lits et les matelas ont été plus développés par la suite. Pendant le 17e siècle, de plus en plus de personnes surélevaient leurs lits et utilisaient des plumes et du duvet d’oie pour garnir leurs matelas. Les sommiers sont alors apparus, fabriqués à partir de cordes bien rigides.

Pendant le siècle suivant, on a enfin équipé les lits de cadres en fer. Les matelas étaient alors surtout en coton. Ces cadres surélevés permettaient de ne plus s’inquiéter de certaines bêtes ou des insectes rampants. En effet, l’intrusion de souris et de rats posaient de gros soucis aux populations.